Ordre du Tribann
Grande Clairière
de l'Asgard
Le grand druide et commandeur Boer Lingon
Boer Lingon dans la Clairière de l'Asgard
Boer Lingon éditeur en chef du bulletin Le Dolmen et l'Épée
Le grand druide et commandeur Boer Lingon
Boer Lingon, Druide d'Aunis, fondateur et Chancelier de l'Ordre de Chevalerie Druidique du Tribann.
L'Ordre du Tribann
Gouverné par un Collège Souverain de 9 membres dont à vie le Chancelier fondateur adoubé le 14 janvier 1989 à Digne les Bains. Un Grand Maître Honoraire, son consécrateur. L'Ordre est reconnu officiellement par les Autorités belges. Cet Ordre, spécifiquement druidique, implique aux Chevaliers d'avoir préalablement reçu le baptême de la religion celtique.
Régalia: cape rouge frappée du Tribann.
Vocation: la restauration du paganisme celtique.
Assemblée générale annuelle au printemps.
La nouvelle noblesse
La nouvelle noblesse que vous cherchez n'a hérité ni de blason,
ni de couronne.
Les dighitaires de tous les grades ont tous le même oeil veule de lascivité, le même oeil brutal de cupidité.
Sans lignée glorieuse grandissent dans la foule d'étranges rejetons premiers nés de leur rang; et les frères se reconnaitront à la flamme pure deu regard.
Stefan Georg
Raison
On ne saurait penser un Ordre Religieux sans concevoir pour l'affirmer, un Ordre de Chevalerie. Aussi, un Ordre de Chevalerie propre au druidisme a vu le jour et pour nom l'Ordre de Chevalerie du Tribann. Cet Ordre a des racines légitimes puisquIl fut créé par un Chevalier lui-même légitimement armé.
Les buts de l'Ordre sont:
- créer un nouvel ordre social,
- redonner un regain aristocratique,
- faire revivre la Tradition, us et coutumes,
- être le défenseur du Druidisme.
L'Ordre du Tribann fut fondé le 22 décembre 1989 (è. c.)
L'Ordre se veut par essence:
- Sacramentel,
- Initiatique,
- Païen.
Fondation
Depuis décembre 1994, il est régi par des statuts d'association enregistrés au Moniteur de Bruxelles, ce qui lui conère une légitimité juridique internationale. C'est par ce biais que l'Ordre a pris sa naissance juridiquement attendu que l'État français prohibe les Ordres de Chevalerie aristocratique.
Cet Ordre s'inscrit en filiation légitime de la Chevalerie païenne et germanique décrite par Tacite dans « De Germania ».
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